Lorsque l'on sort faire un tour sans avoir consulté le ciel, on ne pense pas toujours à se munir d'un parapluie et en cas d'averse, celui-ci nous fait vite défaut.
Autrefois, dans une telle situation, on courait spontanément se réfugier dans la cabine téléphonique du coin. De nos jours, le progrès aidant, les coins sont là mais y dénicher la moindre cabine n'est pas une mince affaire.
Il est donc conseillé de se délester de ses vêtements auprès de la consigne la plus proche, afin d'entreprendre cette quête dans les meilleures conditions.
Toutefois, si le mauvais temps persiste et que les recherches tardent à aboutir, on se rabattra sur une salle d'attente avec coin nudiste de son choix, afin de patienter jusqu'au retour du soleil.
C'est un concept original que de s'appuyer sur des pictogrammes pour écrire un texte, sur le mode du rébus en beaucoup plus élaboré...
RépondreSupprimerJ'ai pu tout de même être influencée par l'histoire sans mots du graphiste Xu Bing, qui s'est raconté uniquement à travers une suite de pictogrammes : lorsqu'on est amené à décrypter ce mode simplifié de communication se pose la question de la subjectivité de l'interprétation de symboles étudiés à la base pour être compris sans ambiguïté et dans un seul but utilitaire.
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