Ce proverbe est très intéressant, je ne le connaissais pas. Si l'on considère que la lumière de la chandelle se rapporte au don (au don de soi, par exemple, en toutes circonstances), on pourrait donc en déduire que cela ne va pas sans un certain épuisement progressif de ses capacités. Peut-être à rapprocher de la locution "qui ne risque rien n'a rien".
C'est effectivement le sens de ce proverbe, bien que cela ne m'ait personnellement pas paru si évident du fait du symbole de connaissance que l'on attribue souvent aux sources lumineuses. Si l'on examine strictement le modèle de la chandelle, il s'agirait d'un don sans retour conduisant à sa propre perte, puisqu'à bien l'imaginer, la bougie subit une dégradation, un affaissement inexorable de la matière malgré sa capacité quasi constante d'éclairage. Cela rappelle aussi le cours de la vie.
Ce proverbe est très intéressant, je ne le connaissais pas. Si l'on considère que la lumière de la chandelle se rapporte au don (au don de soi, par exemple, en toutes circonstances), on pourrait donc en déduire que cela ne va pas sans un certain épuisement progressif de ses capacités. Peut-être à rapprocher de la locution "qui ne risque rien n'a rien".
RépondreSupprimerC'est effectivement le sens de ce proverbe, bien que cela ne m'ait personnellement pas paru si évident du fait du symbole de connaissance que l'on attribue souvent aux sources lumineuses. Si l'on examine strictement le modèle de la chandelle, il s'agirait d'un don sans retour conduisant à sa propre perte, puisqu'à bien l'imaginer, la bougie subit une dégradation, un affaissement inexorable de la matière malgré sa capacité quasi constante d'éclairage. Cela rappelle aussi le cours de la vie.
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